Le Mên-an-Tol en de l'Angleterre est une petite formation de pierres dressées située en Cornouailles. Connue pour sa pierre circulaire emblématique percée de trous, elle a intrigué les visiteurs et les chercheurs. L'objectif du site reste un mystère, mais on pense qu'il remonte au néolithique ou l'âge du bronze. Le Mên-an-Tol témoigne du riche passé préhistorique de la région et continue d'être un sujet d'intérêt folklorique et archéologique.
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Contexte historique de Mên-an-Tol
Le Mên-an-Tol, avec sa pierre trouée distinctive, a été remarqué pour la première fois à l'époque moderne par des antiquaires au XVIIIe siècle. William Borlase, un cornouaillais antiquaire, l'a documenté en 1769. Les créateurs du site restent inconnus, mais il remonte probablement au Néolithique ou au début Age du Bronze. Au fil du temps, le Mên-an-Tol a attisé la curiosité et reste une énigme archéologique.
Des fouilles menées au XIXe siècle par JT Blight ont suggéré que le Mên-an-Tol aurait pu faire partie d'un cercle de pierre ou tombeau. Le site se compose de trois pierres principales : deux pierres verticales avec la pierre trouée entre elles. La pierre trouée est l'élément le plus frappant et mesure environ 1.3 mètre de haut. L'aménagement du site et la fonction de la pierre trouée ont fait l'objet de nombreuses spéculations.
Le folklore local a imprégné le Mên-an-Tol de diverses propriétés curatives, notamment contre le rachitisme chez les enfants. La tradition consistant à faire passer les individus affligés à travers le trou comme forme de guérison rituelle est bien documentée. Cette pratique indique que le site a pu occuper une place importante dans la vie culturelle et spirituelle de la population locale tout au long de l'histoire.
Le Mên-an-Tol est protégé en tant que monument historique classé, ce qui garantit sa préservation pour les générations futures. Bien que ses origines et son but exacts ne soient peut-être jamais entièrement compris, il constitue un élément captivant du paysage préhistorique de Cornouailles.
À propos de Mên-an-Tol
Le Mên-an-Tol se compose de trois pierres principales : une pierre circulaire percée de trous flanquée de deux pierres verticales. La pierre percée, d'un diamètre d'environ 1.3 mètre, est la pièce maîtresse. Elle est faite de granit local et possède un trou parfaitement rond en son centre. Les deux pierres dressées ont à peu près la même hauteur que la pierre percée mais ne présentent aucune sculpture ni ouverture.
Les méthodes de construction du Mên-an-Tol sont typiques du Néolithique ou de l'Âge du Bronze mégalithique structures. Les pierres provenaient probablement de carrières voisines et étaient transportées sur le site. La méthode précise de création du trou dans la pierre centrale est inconnue, mais elle pourrait impliquer de picorer et de meuler avec des pierres plus dures.
Les points forts de l'architecture du Mên-an-Tol sont sa simplicité et la nature énigmatique de la pierre percée. La disposition des pierres suggère qu'elles faisaient peut-être partie d'un complexe plus vaste ou d'un paysage rituel. La disposition du site aurait pu avoir une signification astronomique, cérémonielle ou funéraire, comme c'est souvent le cas avec les structures mégalithiques de cette période.
Malgré sa petite taille, le Mên-an-Tol est un point de repère important dans le paysage des Cornouailles. Son emplacement isolé ajoute au mystère et au charme du site. La zone environnante est riche en vestiges archéologiques, indiquant que la région était importante pour les communautés préhistoriques.
Théories et interprétations
Plusieurs théories ont été avancées au fil des ans sur la fonction du Mên-an-Tol. Certains suggèrent qu'il faisait partie d'un cimetière ou d'un tombeau. D'autres pensent qu'il aurait pu avoir une fonction astronomique, s'alignant sur les corps célestes ou marquant des dates importantes.
Les mystères entourant le Mên-an-Tol incluent la configuration originale des pierres et l'étendue du site. On ne sait pas si davantage de pierres étaient présentes dans le passé ou si les pierres actuelles ont été réorganisées au fil du temps. La connexion du site avec d'autres structures mégalithiques de la région est également un sujet d'intérêt.
Les documents historiques fournissent peu d'informations sur le Mên-an-Tol, laissant les interprétations en grande partie aux preuves archéologiques et au folklore. L'âge du site a été estimé grâce à des méthodes de datation comparatives, car la datation directe des pierres est difficile.
En un coup d'oeil
Pays: Angleterre
Civilisation : Inconnue, probablement néolithique ou début de l'âge du bronze
Âge : estimé entre 2500 1500 et XNUMX XNUMX avant JC
Je me demande si la roche circulaire percée d'un trou était vraiment une roue, une forme plus facile à faire rouler une tonne de roches sur une distance allant de la carrière à leur maison, que de faire glisser une brique d'une tonne ou de transporter de nombreuses briques plus petites. Celui montré pourrait être cérémonial et il y avait un trou pour le rendre plus léger, alors que les roches circulaires quotidiennes étaient plus petites sans trou.
Très intéressant.
Merci, d'Irlande.
Voir l'île de Yap dans l'océan Pacifique en Micronésie. Pierres massives avec trous centraux. Appelé pierres d'argent.
Voir la chaîne Old World Florida sur YouTube. Ancres en pierre. Pierres massives avec trous percés ; pas naturel. Partout en Floride.
Je prétends que les habitants de Yap fabriquaient les pierres d'argent pour commercer avec les anciens marins sur des navires massifs. Regardez la civilisation ancienne sur d’autres îles de Micronésie.
Merci. Apprécie ça. Je prépare un article de blog sur les Money Stones de l'île de Yap.
Tournez-le en ligne avec les deux autres, puis placez-vous derrière lui.